Actualité du 21.01.2019
Afin de mieux connaître les facteurs biologiques pouvant augmenter les risques de développer une schizophrénie, le Centre de neurosciences psychiatriques mène une étude sur des personnes qui présentent des signes avant-coureurs ou qui ont déjà eu un premier épisode de psychose.
Au sein du Centre de neurosciences psychiatriques (CNP), des chercheurs oeuvrent dans le but de mieux connaître les facteurs biologiques pouvant augmenter les risques de développer la schizophrénie. Il y a quelques années un déficit intracérébral en glutathion a été observé chez des patients chroniques. Cette substance est un antioxydant d’une grande importance pour la protection des neurones.
L'Unité de recherche sur la schizophrénie cherche actuellement à comprendre comment la maladie s’installe. C’est pourquoi elle mène différentes études impliquant la participation de jeunes personnes qui présentent des signes avant-coureurs ou qui ont déjà fait l’expérience d’un premier épisode de psychose.
Hommes de 14 à 35 ans, sans notion de trouble psychiatrique
Les données sont traitées de manière anonyme et confidentielle et toutes les études de l'unité sont approuvées par la Commission cantonale d’éthique de la recherche. A noter que chaque personne reçoit une compensation financière pour sa participation.
Martine Cleusix
Psychologue assistante
Tél. : 021 314 34 74
Martine.Cleusix(at)chuv.ch