Contexte légal

Pour le consentement général

  • Les intérêts, la santé et le bien-être de l’être humain priment sur les intérêts de la science et de la société.
  • La recherche sur l’être humain peut être pratiquée uniquement si la problématique scientifique concernée est pertinente pour l’un des domaines suivants: la compréhension des maladies humaines, la structure et le fonctionnement du corps humain, la santé publique.
  • Selon le cadre légal et déontologique, la réutilisation à des fins de recherche des données et/ou échantillons d’une personne peut être pratiquée uniquement si cette personne a donné son consentement éclairé.
  • Un délai de réflexion raisonnable doit être accordé à la personne concernée avant qu’elle ne fasse part de sa décision.
  • Le/la participant-e peut révoquer son consentement en tout temps sans avoir à justifier sa décision.
  • La personne concernée a le droit d’être informée des résultats de recherche se rapportant à sa santé. La transmission des informations doit être effectuée sous une forme appropriée. La personne concernée peut renoncer à cette information.
  • La personne concernée a le droit de consulter toutes les données collectées la concernant.
  • La recherche sur l’être humain ne peut être pratiquée qu’aux conditions suivantes: elle respecte les normes reconnues en matière d’intégrité scientifique, notamment concernant la gestion des conflits d’intérêt; elle remplit les critères de qualité scientifique; elle respecte les règles internationales de bonnes pratiques reconnues en matière de recherche sur l’être humain et les personnes responsables possèdent les qualifications professionnelles suffisantes.
  • Les commissions d’éthique doivent vérifier si les projets de recherche et leur réalisation sont conformes aux exigences éthiques, juridiques et scientifiques en vigueur.
  • La commission d’éthique compétente est celle du canton dans lequel la recherche est réalisée.
 Dernière mise à jour le 11/06/2020 à 09:58